Catégories : Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 3 ans
Je sortais, à cette époque, avec une charmante jeune fille, très douée dans nos jeux amoureux.
Elle ne reculait devant rien, bref, elle n'avait pas froid aux yeux. Bien que jeune, elle jouissait déjà d'une grande expérience. Je me souviens encore, toute frissonnante, de cette étreinte à l'arrière de cette voiture, au vu de tout le monde.
Et puis elle avait une langue, mon dieu quelle langue! Elle était longue et fine. Je tremblais comme une folle lorsque je la sentais au creux de mes reins. Je vous rassure, elle avait la majorité. J'ai, je l'avoue, souvent flirté avec la limite de cette majorité, basculant de temps en temps du mauvais côté. Mais bon, en amour...
Je sortais donc avec cette fille depuis deux mois, deux merveilleux mois, lorsque qu'un jour je reçu un coup de fil de sa mère. Sa fille n'arrêtait pas de lui rabâcher les oreilles avec : Romane par ci, Romane par là. Elle était curieuse de rencontrer cette amie, qui plaisait tant à sa fille. Je ne pouvais pas refuser, de peur que sa mère finisse par lui interdire de me voir. J'étais trop éprise de ma jeune compagne pour subir cela. On prit donc rendez-vous chez elle, en début de soirée, un jour de la semaine.
La veille, j'en parlais un peu avec ma compagne. Elle me dit de ne pas trop m'en faire. Sa mère était assez cool en générale bien que connaissant les goûts sexuels de sa fille. Etait-elle aussi cool avec les amantes de sa fille? Elle ne pouvait me le dire vu que c'était la première fois que sa mère demandait à rencontrer l'une de ses amantes. Sa langue mutine me détendit merveilleusement ce soir là.
Avant que j'aille à mon rendez-vous, je contactais ma compagne afin de lui demander quelles étaient les mœurs de sa mère. Elle n'avait pas d'opinion, plus hétéro semblait il. Je partais avec un handicap.
Je me suis habillée de la façon la plus naturel du monde, chemisier blanc, jupe noir, tallons aiguilles, avec quand même un string arachnéen offert par ma compagne, petit pied de nez à la personne que j'allais voir.
La porte s'ouvrit sur le portrait craché de ma compagne, en plus mature. Après un moment de surprise, elle arbora un sourire très agréable. Visiblement, elle devait s'attendre à quelqu'un de plus jeune, en phase avec l'âge de sa fille. Elle s'effaça et me laissa entrer dans l'appartement que je connaissais très bien pour y avoir déjà fait l'amour avec mon amie.
La maîtresse de maison portait un superbe kimono en satin rouge, caressant ses formes que je devinais merveilleuse. La pièce baignait dans cette lumière orangée et tamisée qui avait délicatement éclairé le corps de mon amie lorsque l'on s'était offerte pour la première fois en ce lieu. Je marchais sur ce tapis qui avait vu nos étreintes passionnées.
Dans le coin le plus éclairé, une table ronde exquisément dressée, présentait un seul couvert. La chaîne hi fi diffusait une très douce musique.
-
Voici donc la personne qui est entrée dans le cœur de ma fille. »
-
Je me nomme Romane. »
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Je ne le sais que trop bien. »
Je me sentis pas à ma place. Elle me regarda des pieds à la tête.
-
Je dois dire que ma fille à bon goût. »
-
Vous êtes absolument ravissante vous aussi. » lui dis je sans arrière pensé.
Ses cheveux auburn et défaits lui conféraient une allure de beau fauve, sa démarche souple et ses grands yeux noisette, striés de jaune et rehaussés par un habile maquillage, m'inspirèrent définitivement l'image d'une superbe panthère.
Elle sourit montrant que ma réplique lui plaisait. Je me détendis. Elle me désigna un fauteuil pour m'y asseoir. Elle continuait à me regarder comme une bête curieuse.
-
Que trouvez-vous à ma fille? »
-
Je... je... » balbutiai-je.
-
Préférez-vous les charmes de l'adolescence à ceux de la femme mûre? »
-
Pas du tout! Je... » Je ne savais pas quoi lui dire tellement je me sentais mal à l'aise.
Je n'aurais pas du venir.
Confortablement installée, la nuque appuyée contre le haut dossier de son siège, elle laissa planer sur moi un regard ambigu, doux et attentif à la fois, dans lequel je crus percevoir une perverse étincelle. Je me sentis excitée sous se regard.
Je la regardais, sans pouvoir dire un mot. Un moment je revis sa fille dans le même fauteuil, les jambes largement ouvertes, s'offrant à la masturbation avant que je ne lui prodigue un superbe cunnilingus.
Le visage de la mère revint. Elle me désigna le bar et me demanda si je désirais un apéritif. J'avais la gorge sèche. Je sentais mon string s'humidifier.
-
Pas d'alcool, s'il vous plait. »
-
Vous voulez garder la tête froide? » dit elle en souriant.
Elle était enfoncée entre les larges accoudoirs, le visage incliné, ses longues cuisses allongées, les chevilles croisées. Un pan de son kimono glissa, découvrant en partie ses jambes lisses qui avaient conservé un soupçon du hâle de l'été.
-
Laissez-vous tenter? » proposa t'elle avec une moue irrésistible.
-
He bien d'accord! » balbutiai-je, troublée, le regard braqué sur ses genoux superbes.
-
J'ai une liqueur très légère et odorante que vous pouvez prendre en apéritif. Je ne l'offre que dans les grandes occasions, aux personnes qui plaisent vraiment. »
Sa voix s'était faite soudain plus rauque. Elle me regardait étrangement, les lèvres entrouvertes. Ses seins montaient et descendaient sous la soi rouge et fine. Je voyais distinctement la pointe de ses tétons. Quelque chose allait se passer.
- Je suis sûre que vous en raffolerez. » reprit-elle. « Me donnerez-vous le plaisir d'en accepter une larme? »
Elle avait mis l'accent sur le verbe « donner ». Pourquoi donner au lieu de faire? Je m'en doutais un peu mais préférais me voiler la face.
- Certainement », dis-je dans un ton rauque à mon tour.
Sans me quitter du regard, elle releva alors lentement l'un des genoux que je contemplais. Le kimono s'ouvrit jusqu'à la ronde hanche.
Je mouillais un peu plus, le cœur s'emballant.
Elle releva l'autre jambe, posa les deux talons, bien écartés sur les bras du fauteuil et se campa avec un air de défi. Je pouvais dire alors, telle mère, telle fille. Entre ses jambes nues, venait d'apparaître le plus affriolant pubis qu'il m'ait été donné de contempler : taillé en forme de cœur, piquant, plus roux que ses cheveux.
Je me levais lentement. Son beau regard me toisait toujours avec le même aplomb. Elle passait sa langue rose sur ses lèvres, comme pour ajouter à sa totale impudeur. Je m'approchais lentement, m'agenouillais et déposais délicatement ma bouche sur ce calice. Je bus alors le délicieux liquide qu'elle m'offrait. Je devins un peu plus folle et commença à dévorer cette vulve si agréablement offerte.
Bien plus qu'une « larme », sa vulve onctueuse m'offrit une liqueur abondante, savoureuse, un nectar exquis que je bus jusqu'à l'ivresse. Elle se laissait emporter par les flots de sensations que mes longs et fiévreux baisers faisaient naître en son sublime pistil et qui se propageait en mille frissons sur sa peau délicate.
Jamais apéritif ne fut plus longuement dégusté et plus pleinement apprécié par les deux partie.
Lentement elle referma les jambes, dérobant son sexe odorant à ma bouche gourmande. Je restais agenouillée. Elle me caressait les cheveux à la fois reconnaissante et excitée. Je me haussais jusqu'à son visage pour saisir ses lèvres. Elle évita doucement mon baiser et ma bouche glissa sur sa joue, effleura son oreille, pour se poser dans son cou sensible, dont je mordillais la tendre chair.
Elle repoussa cet élan de tendresse et se releva, me considérant de nouveau de son œil dominateur.
Son kimono glissa jusqu'au sol. Sa poitrine gonflée de vie jaillit sous le tulle léger et transparent du chemisier qui voilait encore ses charmes pulpeux. Les pointes brunes et érigées étaient nettement visibles, fichées au centre des mamelons. Elle me sourit et me tourna le dos.
Alors qu'elle se dirigeait vers la table dressée dans un coin de la pièce, je pus admirer la courbure de ses reins, la rotondité de ses fesses. Sa fille allait devenir superbe en vieillissant.
Elle repoussa une chaise et m'invita à la rejoindre.
- Asseyez-vous et goûtez à ces spécialités orientales. » susurra-t-elle.
Le vouvoiement ajoutait du piquant à la situation. Après la brutale effusion, elle redevenait distante, presque froide, comme si rien d'intime ne s'était passé entre nous. Cette alternance ne fit qu'accentuer mon désir tumultueux.
Docilement, je pris lace sur le siège qu'elle me désignait. Elle prit un beignet qu'elle porta à me lèvres. Je croquais.
-
Comment les trouvez-vous? »
-
Délicieux. »
Elle recommença plusieurs fois ce geste et chaque fois elle m'offrait ses longs doigts à sucer. Elle était appuyée contre la table, son mignon pubis à porté de vu. Si j'esquissais un geste en sa direction, la belle s'échappait pour revenir. Elle me mettait sur des charbons ardents.
Elle alla à la cuisine et revint avec un plateau de « nem ». Elle reprit sa place près de moi et retroussa le bas de son chemisier. Je retrouvais à nouveau la beauté de son sexe.
Elle se saisit d'un « nem » à l'aide d'une paire de baguette et le porta entre ses cuisses. Elle le passa doucement sur ses lèvres juteuses déposant ainsi sa douce liqueur sur l'aliment et le porta à mes lèvres. Je croquais à nouveau. Divin. Je mangeais ainsi le plateau de « nem » avec cette sauce spéciale maison. Je mouillais comme une folle.
Sa langue douce et humide essuya mes lèvres couvertes de graisses et de sauce maison.
- Le dessert maintenant. »
Elle repartit dans la cuisine. Je glissais une main sous ma jupe pour me caresser. J'étais dans un état d'excitation extrême. Que me réservait 'elle encore?
Elle revint de la cuisine, sans son chemisier. Elle arborait un superbe godemiché ceinture, noir, puissant.
Une fois près de moi, elle déposa de la crème chantilly sur le long pieu couleur ébène. Pas la peine de me faire un dessin. Je léchais la crème sur le pieu. Elle déposait encore et encore de la crème. Je finis par gober l'engin et lui prodiguais une superbe fellation.
-
Vas-y ma belle pompe moi bien! Je vais t'honorer, te défoncer. »
-
Hummm, hummm
Je pompais comme si ma vie en dépendait.
- Ca suffit maintenant! Debout! »
J'obéissais sans réfléchir. Enfin sa bouche sur la mienne. Quelle vorace. Je sentais ma jupe glisser le long de mes jambes, mon chemisier s'ouvrir sur ma poitrine nue. Sa bouche dévora mes mamelons me faisant rugir. Sa main découvrit mon sexe brûlant liquéfié. Elle grogna de plaisir à son tour.
Elle me fit allonger sur la table et me pénétra doucement de son long pieu ébène. Ma grotte était suffisamment humide pour se passer de vaseline.
Elle me besogna comme une folle. Elle me fit longuement jouir.
-
Tu aimes? Dis tu aimes? »
-
Oui....Oui... »
-
Tu en veux encore plus? »
-
Hmmmm, oui..., oui... »
-
Tu es une salope? Dis moi? »
-
Je suis une salope... »
-
Ma fille t'a déjà prise comme moi? »
-
Ooooooh, oui, déjà....déjà.... Continue.... »
-
C'était bon? »
-
Ouuuuuui, comme... comme, toi... »
J'eus mon orgasme.
Le reste de la soirée devint flou. Sa bouche me dévora merveilleusement bien. Je me vis la baiser à mon tour avec son godemiché ceinture. Je découvris ses charmes sous ma bouche et ma langue. Elle aussi torride que sa fille.
On pouvait dire telle mère, telle fille. Je ne la quittais que très tôt le lendemain matin.
Malgré moi, je racontais la soirée à ma compagne. Je pensais qu'elle serait jalouse. Et bien non, elle m'offrit un long et doux baiser.
- Je t'avais dit que ma mère était cool. »
Romane
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